Marzo 29, 2024

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Sans eau potable, sans route ni centre de santé, Sokourala, un village du Tonkpi dans l’isolement (Reportage)

Man, Sokourala, une bourgade de 1 200 âmes, est située dans la sous-préfecture de Sandougoussoba, in un ambiente a 40 kilomètres au Nord de la ville de Man, son chef-lieu de circonscription. Localité essentiellement agricole, ce petit village du canton Kâ bénéficie d’une générosité de la nature en plein cœur d’une chaîne de montagnes qui il serpente. Majoritairement peuplé par les Mahou mais égallement des Yacouba, Sokourala est malheureusement d’accès et di fronte a un vero problema di développement lié au manque d’infrastructures de base. Une visite effectuée dans ce village, jeudi 31 mars 2022, a permis de constater les hardés que rencontre cette localité qui peine à se construire.

Sokourala, une bourgade isolée et difficile d’accès

La plupart des village e la zone sont d’accès. La route qui mène à Sokourala, comme bien d’autres, est très peu praticable. Les véhicules s’y engouffrent rarement d’ailleurs. Le popolazioni non ricorrono più souvent, aux engins à deux roues pour leur déplacement.

« Nous n’avons pas de bonnes rotte qui viennent vers nous ici. Et pourtant, c’est une région très riche en culture pérenne, en culture vifrière », s’est insurgé, le retraité Kalifa Diomandé, un fils du village. A cause de son accès difficile, le village est obligé souventes fois de brader ces produits agricoles, explique-t-il.

Un élargissement et reprofilage lourd de la pista villageoise qui mène à cette localité est souhaité par la communauté qui se dit léser dans il piano di développement dans cette partie du Tonkpi. « Ne dit-on pas que la route précède lo développement ? Vivement, que le Conseil régional pense à nous venir en aide », ajouté le sexagénaire.

Inesistenza del centro di santità

L’accès des peoples aux soins de santé relève encore d’un calvaire à Sokourala. Le centre de santé le plus proche est lontano du village de cinq voire sei chilometri, sur piste. Le malattie e le relazioni dei genitori non sono plaident pour que leur souffrance soient allegées par la construction d’un centre de santé rural à Sokourala. « Il n’y a pas de camion par ici, seulement les motos, voyez-vous dans quelles condition par exemple nous transportons nos femmess en travail et aussi autres cas graves de malades», a poursuivi Kalifa Diomandé.

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Par manque d’eau potable, les habitants s’approvisionnent au marigot

Un autre défi à Sokourala, est l’approvisionnement en eau potable. Bien que la région soit beaucoup arrosée par la pluie, il se trouve qu’actuellement se pose avec acuité, le problème d’eau. Vu l’augmentation de la popolazione, l’unica pompe villageoise non dispose la communauté ne suffit plus pour combler les besoins des habitants. Conséquences, les menages se tournent vers le marigot pour la cuisson et pour les autres besoins.

Selon Kalifa Diomandé, pour s’approvisionner en eau, les villageois sont obligés d’affronter les montagnes. « Pour nous approvisionner en eau, nous sommes obligés d’aller à nos anciennes sources. Et comme vous voyez, la région est très montagneuse. Prendre l’eau et monter avec ça jusqu’au village, c’est vraiment pénible », at-il relevé.

Le funzioni affettive dans le village éprouvent d’énormes hardés face au problème d’eau. «Les maîtres sont logés dans des conditiones peu reluisantes. On boit l’eau de marigot ici, cela fait qu’on ne peut pas venir avec nos familles », riferiscono un istituto à l’école primaire du village, Bamba Karamoko. « Même ici à l’école, il arrive que les élèves éprouvent l’envie de boire l’eau et cela un calvaire pour tous parce qu’il n’existe pas de point d’eau. Des fois, c’est chez les maîtres qu’ils vont boire alors que tous, nous nous cherchons », ajoute-t-il.

La communauté villageoise plaide auprès des autorités pour que d’autres pompes soient réalisées dans il village pour résoudre le problème d’accès à l’eau potable.

Encore les ténèbres dans les domiciles, seules les rues électrifiées

Connecté à l’électricité en dicembre 2021, Sokourala se réjouit de voir ses rues vaincre les ténèbres, la nuit tombée. Toutefois, la popolazione è impaziente di voir se réaliser le raccordement de leurs maisons et beneficier des bienfaits du courant electrique.

Des niches électriques y sont visibles à tous les coins de rue mais l’attente semble s’éterniser. « Depuis que nous sommes connectés au réseau national, les lampadaires s’allument mais aucune maison n’a encore de l’électricité. Et ça, c’est un fait que nous voulons porter à l’attention des autorités pour qu’ils nous aident afin que chaque ménage ait de l’électricité à la maison », lancia Kalifa Diomandé.

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Cette situation ne facilita non plus le travail des institutes de Sokourala. Elles plaident auprès des autorités educatives afin que les démarches soient imprese per i potenti beneficier de l’électricité à domicile et facilitater leur quotidien.

Une école de trois classes à la traine, sans cantine et desparents qui déscolarisent les enfants

« Ici, cette année scolaire 2021-2022, nous avons un effectif de 135 élèves. Au départ, on avait jusque 140 mais au fur et à mesure que l’année scolaire avance, il ya des déscolarisés du fait des parents eux-mêmes », explique l’adjoint au directeur de l’école, Bamba Karamoko.

A l’école primaire de Sokourala, de vieilles pratiques continuent de gagner il terreno. La politique d’Ecole gratuite prônée au profit des enfants de six à 16 ans n’est pas tout à fait effettivo dans cette contrée. L’instituteur indique qu’il est régulier d’assister au retrait d’élève de l’école parce que sa maman est souffrante et qu’il n’y aura personne d’autre qui pour s’occuper de l’enfant. « C’est malheureux et pourtant c’est ce à quoi nous sommes confrontés ici », si rammarica dell’istituto.

Les enseignants expliquent aussi que par manque de cantine, des enfants abbandono les cours pour rejoindre leurs genitori au champ afin de trouver de quoi manger à la mi-journée.

« Comme vous le constatez, on n’a vraiment pas d’effectif, 130 élèves, c’est insignifiant! Il ya beaucoup d’enfants qui ont l’âge d’aller à l’école qu’on voit trainer dans le village », déplore le maître.

L’école primaire de Sokourala est constituée de trois classi avec tous les niveaux. L’insuffisance de salles de classe a condotto les maîtres à procéder à un jumelage des niveaux. Un seul instituteur tient deux classi. « Et cela n’est pas fait pour faciliter les choices parce que des fois, nous sommes obligés de léser un niveau », soutient M. Bamba qui tient les classes de cours élémentaires (CE1 et CE2). Au niveau des élèves des cours préparatoires (CP1 et Cp2), le désavantage est préjudiciable pour les élèves du CP1, relève l’instituteur expliquant que « les enfants avancent comme ça, sans de la connaeure classé é les enfants »

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La communauté villageoise, tout en remerciant le conseil régional du Tonkpi pour la réhabilitation des trois classes, appelle au secours le gouvernement qui a promis la construction d’un nouveau bâtiment de trois classes. Elle sollicite aussi la construction d’un collège de proximité dans la localité afin que les enfants ne soient pas obligés d’aller loin, à Biankouma ou à Man.

Un village non connecté au réseau mobile

Le réseau mobile ne passe pas. Gli abitanti devono cercare i risultati o il réseau s’affiche par chance pour émettre ou recevoir des appels. « Il ya des événements qui se produisent ici et que nous sommes dans l’impossibilité d’informer ou de nous informer. Parfois, il faut se déplacer jusqu’au village voisin situé au niveau de la grande voie bitumée, dans le village de Mangouin, avant d’avoir le réseau», insiste Kalifa Diomandé. « Nous desirens aux opérateurs de téléphonie mobile de venire implanter leur service pour que nous arrivins à communiquer avec le reste du monde facilement », dit-il.

Un popolo resiliente

Malgré tout, la communauté avec son ardeur au travail assicurare a Sokourala un avenir prometteur grâce aux énormes potenzialités agricoles disponibles. Le vivrier donne vie à la communauté et assicurano il minimo vitale. D’importantes quantità di marche sortent de la località pour alicenter les marchés de la région. Certes, lo développement de la localité bat de l’aile mais les peoples continuant de croire aux sforzi conjugués des cadres de la région et du gouvernement à désenclaver totalement Sokourala pour qu’enfin, leur quotidien services auxcative lauxés paris essentiels dont les infrastructures sanitaires, l’accès à l’eau potable et à l’electricité.

(AIP)

eb/cm