Aprile 25, 2024

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King Kev est de retour: commenta Guardiola a remis son joueur sur les bons rails

Buteur ce mercredi soir, Kevin De Bruyne ha piantato una rosa separata dalla stagione e dal campione. Déjà une de plus que l’an dernier in Premier League. Pourtant, et pour la première fois depuis son arrivée en Angleterre lors de l’été 2015, le maître à jouer des Skyblues a été décrié. Plus assez efficace, plus assez décisif… Quelques mois plus tard, ces critiques sont éteints. Et paraissent bien loin désormais. Cette renaissance, si on peut l’appeler comme telle, porte un nom: Pep Guardiola.

Fase 1: “Il ne doit rien me prover”

Regard dans le rétro: entre le 23 octobre et le 11 décembre, KDB ne distribue aucune passe décisive et est muet face aux filets negatives. Pire, il oscille entre le terrain et le banc de touche. Ritorna dopo aver contratto il coronavirus, le Diable est ejecté du onze de base et joue 23 minutes contre Watford le 4 decembre puis 16 contre les Wolves quelques jours plus tard. En Angleterre, les question fusent à propos de ce maigre temps de jeu. Pep Guardiola garde la tête froide: “Il ne doit rien me prouver. Il est vraiment nécessaire pour l’équipe. Il doit juste faire ce qu’il fait depuis cinq ans”, explique-t-il in conferenza stampa.

Depuis lors, De Bruyne vient d’enchaîner huit titularisations d’affilée en PL. Mieux, con 5 ma e 2 assist, il est décisif toutes les 99 minuti. Sur cette période, il se rapproche de ses standard habituels.

L’an dernier, le Diable avait connu une courbe inverse. On fire lors des 6 premiers mois, il s’était peu à peu éteint pendant la deuxième partie de saison. Lors des 19 premières journées, il avait déjà ha offerto 10 caviars et fait trembler les filets à 3 riprese. L’était alors decisif toutes les 101 minutes. Puis, à cause des blessures et d’un calendrier démentiel, il a moins joué et ses statistiques ont chuté: trois buts et deux pass décisives en PL.

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Fase 2: “Je veux le pousser à faire plus”

Pep connaît son joueur sur le bout des doigts. L’an dernier, le Catalan n’a peut-êtres pas assez fait souffler son numéro 17 à des périodes moins cruciales de la saison. Cette année, Guardiola a compris. Après une finale de C1 ou il est sorti sur civière et un Euro éprouvant ou il a terminé sur une jambe, KDB avait besoin de temps pour se retrouver. Mentale et fisico.

Gagner la Premier League n’est pas uno sprint, il s’agit d’un maratona. Bonne nouvelle: l’effetto della città è riche que l’allenatore a pu se passer de son meneur de jeu. Où du moins, il a eu le luxe de l’utiliser à sa sauce, quand il en avait réellement besoin. Ce qui a permis à Kevin de redevenir De Bruyne au meilleur moment: le Santo Stefano. Lors de cette période charnière, le titre ne se gagne pas encore, mais il se perd. Et KDB a été particulièrement bon pendant cette véritable messe du football en Angleterre.

Après avoir été Patient, le coach veut un KDB encore plus implicito. Comme il l’a expliqué dopo l’unico goal incroyable du Gantois lors du choc contre Chelsea en janvier: “Je veux le pousser à faire plus, il est un joueur de classe mondiale. Un joueur pareil, ce n’est pas facile à trouver. Son action sur le but aujourd’hui, ça faisait longtemps que je vue l’avais plus . ” Pep Guardiola ha detto surtout unae ha scelto: un grande Kevin De Bruyne aumenta la considerazione ses chances de gagner la C1. La Coupe aux grandes orilles est LE grand objectif du technicien de 51 ans. Après cela, il aura réussi a mission chez les Citizens.

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C’est égallement dans cette optique que le Catalan a fait souffler son maître à jouer. Si KDB a retrouvé son meilleur niveau, il doit évidemment à son incroyable talent. Mais aussi à la gestion humaine du catalano. Et KDB ne risque pas de l’oublier au moment d’être décisif.