Marzo 28, 2024

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Le vol space habité européen, pourquoi maintenant ?

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Replay de l’événement du lancement de Crew-2 qui s’est déroulé avec succès le 23 aprile 2021 alle 11 h 49, heure de Paris, depuis le pas de tir 39A au Kennedy Space Center en Floride. À bord du Crew Dragon, quatre astronauti non Thomas Pesquet. Direzione la stazione spaziale per una missione di sei mesi.

Le sommet européen de l’espace a Tolosa vient de determinarpas de décision franche concernant le vol space habité européen mais le germe d’une volonté de développer, pour la première fois, un véhicule space habité. Une volonté de plus en plus assumée allant jusqu’à la price de parole des astronauti europeens eux-memes.

Pourquoi pas avant?

Car oui, pour qu’un astronaute européen rejoigne l’espace, il faut forcement compter sur une puissance étrangère, et ça a toujours été le cas. Les premiers à rejoindre l’espace furent les Soviétiques avec la capsule Vostok, qui a emmené Yourri Gagarine in orbitapuis Voskhod et enfin Soyuz qui emmène encore aujourd’hui les astronautes vers la Stazione spaziale internazionale.

Ensuite sont venus les Américains avec le program Mercury, puis Gemini, puis Apollo qui a servi jusqu’à la station space Skylab avant de n’utiliser plus que les navettes, jusqu’à l’arrêt du program nel 2011. Après 10 ans de dépendance à la Russie, les Américains ont finale retrouvé leur accès habité à l’espaceaussi bien pour les astronautes professionnels que pour le tourisme, grâce à leurs programmi commercialiaux.

Enfin, la Chine a compli le voyage space habité avec son program Shenzhou. Et aujourd’hui, pour aller dans l’espace, il faut compter sur ces trois Nations uniquement.

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L’ambition européenne du vol space habité a commencé au temps de Mir, époque de la naissance d’une grande entente internazionale où Américains et Russes se retrouvaient enfin amicalement sur le long terme. En ce temps, l’Europe était déjà l’un des leaders du domaine space, concevait d’ambitieuses missions scientifiques et dominait leé des lancements de satellites commerciaux grâce à Ariane. Nul doute qu’elle avait la capacité de développer son propre véhicule space, normal, vu qu’elle l’a déjà fait.

Ce véhicule, c’était la petite navette européenne, Ermeteversion réduite de ses équivalents américains et soviétiques, qui aurait été lancée sur une Arianna 5. Mais, d’une parte, le catastrofi connues par la navette américaine ont fortement réduit l’enguement dans le projet d’une autre navette, et d’autre part, quel intérêt ?

À vouloir être bon partout, on finit par être bon nulle part

La guerre froide est terminée, l’évolue spaziale vers toujours plus de collaborazioni internazionali, et d’autres paga ont déjà le savoir-faire d’un véhicule habité. Inutile de jouer la redondance, utilisons plutôt le budget pour apporter quelque ha scelto de nouveau à ces collaborazioni.

Ce fut le choix de l’Europe, un choix qui a porté ses fruits, car l’Agencespacespace européenne (ESA), et tout ce qui est en lien, a pu poursuvre son savoir-faire en materia de lanciatore avec Ariane, mais aussi acquis une brillante esperienza e concezione di satelliti, sonde e strumenti spaziali e scientifique qui se retrouve aujourd’hui sur les plus ambieuses missions d’exploration. Avec un budget plus modeste que d’autres puissances spaziales, à vouloir être bon partout, on finit par être bon nulle part.

Les temps changent

Mais voilà, nous ne sommes plus dans les années 2000, encore moins dans les années 1990. La Stazione spaziale internazionale (ISS) n’est pas éternelleles Russes semblent vouloir reprendre leur propre chemine la politica americana interdit toute collaborazione avec la Chine. Il ya due stazioni spaziali qui tournent au-dessus de nos têtes en ce moment, l’ISS et la stazione spaziale cinese (CSS), mais bientôt, ce sera Certainement bien plus.

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La successione dell’ISS è assicurata in quel momento per la stazione Gateway qui tournera cette fois autour de la Lune. Tout come l’ISS est à moitié americaine, à moitié russe, la Gateway sera a moitié americana e a moitié europea. Un seul astronef sera disponible pour y accéder : Orionequi lui aussi est à moitié américain et à moitié européen, héritier du savoir-faire du vaisseau cargo européen ATV. Dans ce cas, le rôle comme l’importance de l’ESA est assuré.

Certains voudront travailler main dans la main, d’autres voudront faire cavalier seul. Quel sera le rôle de l’Europe ?

Mais qu’en est-il du reste des pays ? Si les États-Unis ont décidé de ne pas collaborer avec la Chine, ce n’est pas le cas de l’Europe, de la Russie, du Japon o même de l’Inde o des autres puissances spaziali emergenti. Et d’autres collaborazioni verront le jour, d’autres seront brisées. Certains voudront travailler main dans la main, d’autres voudront faire cavalier seul. Quel sera le rôle de l’Europe ?

La CSS pose déjà cette problématique, car seuls les vaisseaux Shenzhou chinois peuvent y accéder. En effet, cavalli di domanda d’inviato in capsula Crew Dragon o Starliner s’y amarrer, et les Soyuz ne peuvent simplement pas atteindre la station, du fait de la latitudine élevée de la Russie. Un vaisseau habité lancé depuis Kourou en Guyane, lui, pourrait atteindre en théorie n’importe quelle station.

Dipende dagli altri e da un contesto di collaborazione internazionale in posa per il problema dell’ESA ; par contre, dans un contexte de mésentente, ou du moins d’incertitude, les cartes sont redistribuées.

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Alors sul fatto quo?

Les voix s’élèvent pour la capacità de l’ESA à envoyer elle-même ses astronautes sur leur lieu de travail, mais aucune decision n’est price encore, car reste une problématique : que faire ? Ressortir Hermès du Grenier ? Une capsule basiée sur le vaisseau ATValla maniere d’Orione ?

La prima proposta concreta vient en réalité des Russes. Car oui, l’Europe possède déjà une fusibile Apte au voyage habité : Soyouz, opérée par Spazio Ariano, in Guyana. Il direttore generale di Roscosmos, Dmity Rogozin, un suggerimento per la possibilità di adattatore per i fusibili Soyouz européennes pour le lancement des vaisseaux Soyouz russes, depuis Kourou.

Cette idée concrétisée renforcerait la coopération entre Européens et Russes, bien qu’avantageant surtout ces derniers, et permettrait de posséder temporairement une capsule habitée le temps de développer un vépécule 100%. Mais cela va à l’encontre de la volonté d’indépendance, et même temporairement cela pourrait casser l’enguement et la dynamique du projet.

Plusieurs années seront donc nécessaires pour station mûrir la réflexion, comptons une décennie ensuite de développement du véhicule, ce qui nous amène pile au milieu des années 2030, époque de la fin de vie de vie de l’uvs’ ISS sorties des usines. Le bon moment pour faire naître une telle ambiction, c’est donc maintenant !

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