Aprile 27, 2024

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Des expatriés russes combattente aux cotés des Ukrainiens contre leur pays d’origine

Tiraillés entre leur patrie et leur pays d’adoption, ils combattent à leur manière, leur passeport russe les empêchant de rejoindre l’armée ukrainienne.

Originaire de Saint-Pétersbourg, deuxième ville de Russie, cette jeune femme a trouvé rifugio a Leopoli, bastion nationaliste dans l’ouest de l’Ucraina, face à l’avancée de l’armée russe vers Kiev, plusieurs fois bombardée. « Je me sens ici plus en sécurité qu’en Russie », assicurano cette sociologue et informaticienne aux dreadlocks multicolors.

Déchirés entre patrie et pays d’adozione

L’invasion russe a pris au dépourvu les Russes vivant en Ukraine, qui se retrouvent déchirés entre leur patrie et leur paga d’adozione. Une situation délicate, voire potentiellement dangereuse alors que pour Certains, dans ce pays de quelque 40 milioni di abitanti, tout citoyen russe est désormais un ennemi.

Fin janvier, près de 175.000 Russes bénéficiaient d’un titolo de séjour in Ukraine, an indiqué à l’AFP le service d’Etat des migrations. De nombreux autres pourraient s’y trouver illégallement, l’Ucraina n’ayant pas de régime de visas avec la Russie.

« D’abord j’avais très honte d’être Russe », confie Galina Jabina, qui a passé plusieurs jours sous les bombes à Kharkiv, deuxième ville d’Ukraine dans l’est du pays. « Ensuite j’étais très en colère, prête à me jeter sur un char les mains nues, mais il n’y avait pas de chars, juste des frappes aériennes », décrit cette éditrice publicitaire de 36 ans » quis abs ne cro que Moscou puisse gagner cette guerre.

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Maria Trouchnikova, une professeure d’anglais de 43 ans qui vit depuis une vingtaine d’années en Ucraina mais s’est toujours sentie Russe, dit vivre une crisi identitaire. « Honte, rage, fierté pour l’Ucraina, il ya tout cela en moi», raconte-elle à l’AFP. Inoltre «un vide terrible au lieu de la nationalité».

Identificativo di crisi

Andreï Sidorkine s’est installé à Kiev depuis une quinzaine d’années, mais c’est avec l’invasion russe qu’il s’y est senti définitivement chez lui et ne veut partir nulle part. En deux semaines de guerre, cet homme de 40 ans s’est habitué à des esplosioni et sirènes d’alerte anti-aérienne et a tenté plusieurs fois de se faire enrôler dans les force armées ukrainiennes, sans succès de sons en passeport.

« Si jamais des troupes russes entrent dans Kiev, je voudrais les accueillir l’arme à la main et non les mains vides », dit M. Sidorkine, qui prepare i cocktail Molotov avec d’autres bénévoles en attendant.

Divisioni familiari

Pour beaucoup, cette guerre a ruiné des liens avec des proches en Russie qui soutiennent l’invasion ou ne souhaitent pas condamner Moscou alors que les frappes russes ont fait des centaines de morts parmi lesé civils de et plus de fugi.

«Je ne parle pratiquement plus à personne», dit Mme Jabina. « Mes amis se cachent la tête dans le sable, ma famille m’invite à retourner en Russie et ne comprend pas pourquoi je ne le fais pas». De sa famille, Sacha Alekseïeva ne communique plus qu’avec sa grand-mère de 88 ans.

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Cela l’attriste de penser qu’elle pourrait ne plus jamais la revoir. « Mais quand tu entends qu’un enfant de 18 mois a été tué (par des frappes russes, ndlr), tu ne penses plus à ta grand-mère », martèle la jeune femme.

Ioulia Koutsenko, fondatrice d’une école maternelle a Kiev, dit que sa mère et ses sœurs in Moscou soutiennent l’Ucraina mais elle a du mal à comprendre leur inaction, même si toute brutal protest leses autoprimé estément « J’ai très peur pour elles, mais je voudrais quand même qu’elles sortent dans la rue», dit cette femme de 44 ans, qui se send désormais Ukrainienne et considère la Russie comme « un ennemi ».