Gli incitatifs pour le person de santé à revenir dans le système pour prêter main-forte ne semblent pas convaincre tout le monde.
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«Non, ce n’est pas le côté monétaire dont moi et mes collègues, su un besoin; c’est une qualité de vie», menziona Jessica Hamel qui a quitté le réseau public en 2018 après 17 ans.
Le gouvernement a beau lui offrir plus d’argent pour qu’elle revienne, elle ne le fera pas.
«12 000 dollari, honnêtement, pour recommencer à faire du TSO [temps supplémentaire obligatoire]me retrouver de nuit… et savoir que je begin à minuit et je ne sais pas à quelle heure je vais sortir… non», spiega l’infirmière.
Avec le privé, elle a obtenu un contrat d’un an à temps complet aux urgences de l’hôpital de Saint-Eustache, et reçoit autant qu’avant. Seul handicap: elle n’a pas de fonds de pensione.
«J’ai eu des remplacements de jour qui m’ont été coupés, puis ils m’ont demandé d’être de soir ou de nuit», souligne-t-elle.
Celle qui dirige l’agence qui l’embauche n’a vu aucune de ses 300 infirmières retourner au public depuis septembre dernier.
«Même qu’on a plutôt vu l’inverse. On a vu une recrudescence de demands d’emploi de la part des infirmières», explique la présidente u groupe Serenis, Léonie Côté-Martin.
Voyez le reportage complet dans la vidéo ci-dessus.
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