Aprile 23, 2024

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Sortie du nucléaire: des pannes de courant et des prix plus élevés en vue ?

Si la Belgique choisit de fermer une partie ou toutes ses centralis nucléaires d’ici 2025, l’offre sera mise sous pression et le prix de l’électricité augmentera encore. C’est en tout cas ce que soutiennent trois chercheurs de l’Université d’Anvers qui, sur base d’une simulation de différents mode d’approvisionnement en électricité, ont publié cette conclusione. Selon ces chercheurs, il sera égallement plus difficile d’atteindre les objectifs de réduction des emissions de CO2.

Les chercheurs ont calculé la combinazione delle moins chère des différents moyens possibles de fournir de l’electricité, tels que les éoliennes, les panneaux solaires, les centralis à gaz o les importtions, afin de la demandé. Comme notre pays devra compter davantage sur les centralis à gaz en cas de sortie du nucléaire, les chercheurs concluent que le prix de l’électricité deviendrait encore plus sensibili aux augmentations du prix du gaz. Le fonti d’energia rinnovabile, quant à elles, nécessitent des investimenti importantis dans l’infrastructure du réseau et ce coût devrait égallement être pris en compte, disent-ils.

Une augmentation de 30 % au moins

Gli investimenti nécessaires dans les nouvelles capacités de production et de stockage des énergies renouvelables, telles que les éoliennes, pourraient égallement entraîner une augmentation des coûts énergétiques d’au moins’ lédique.30%, ind.

Enfin, notre pays est de plus en plus dépendant des importtions d’énergie en provenance de l’étranger. “Nos résultats indiquent qu’environ un tiers de l’électricité requise sur une base annuelle devra être importé”, indice les chercheurs. “Cela crée une forte dépendance vis-à-vis de nos pays voisins. En outre, il reste à voir si nos pays voisins auront effectment de tels excédents.”

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L’étude se fonde sur la demande historique d’électricité et ne tient donc pas compte de l’augmentation prévue de cette demande en raison de l’électrification du parc automobile (d’entreprise), du chauffage domestique et de la numéterisation. “Sous-estimer la demande d’électricité, une demande qui continuera presque Certainement à augmenter chaque année dans les années à venir, ne fera qu’exacerber les conséquences”, ajoutent les chercheurs.