Aprile 25, 2024

Laredazione.eu

Trova tutti gli ultimi articoli e guarda programmi TV, servizi e podcast relativi all'Italia

pouvez-vous blesser vos enfants sans le vouloir ?

«T’es un bon à rien! », « Tu as deux mains gauches » ! , « T’es nul à l’école ! » : frasi ces, prononcées sous le coup de l’énervement, sont autant de mots assénés que votre enfant va enregistrer, parfois à vie.

Même si le but initial n’est pas de heurter ou de blesser l’enfant, le mal est fait, selon Natalie Bourgeois: « Une parole malveillante peut viser bless à détruire l’enfant et le rabaisser et l’impact de mot sont beaucoup più importanti qu’on ne le croit. Ces frasi ont une influence sur le développement psychique de l’enfant qui va s’inscrire dans cette “assegnazione negativa” et nourrir un sentimental d’échec à priori, avant même d’en avoir fait l’expérience. »

En l’occorrence, l’enfant n’aura pas confiance en lui pour réaliser un projet puisqu’on lui a dit qu’il était bon à rien. Il ne pourra rien réaliser avec ses mains puisqu’il a soi-disant « deux mains gauches » o poursuivre des études supérieures, car il serait « trop mauvais à l’école ».

Pire encore, si elles sont répétées, ces remarques peuvent entraîner à terme des troubles du comportement sévères (obésité, alcoolisme, toxicomanie, délinquance, depression).

Des remarques passa si anodines

Souvent, l’adulte oublie que l’enfant ne perçoit ni l’ironie, ni le sens figuré et encore moins les métaphores, puisque son vocabulaire ne s’est pas encore arricchi. Oppure, certi genitori peuvent faire des remarques qui sont d’allures agréables, mais que l’enfant ne comprendra pas de la bonne manière.

Natalie Bourgeois nous esporre un esempio illustratif : « Une fillette de 8 ans à qui on avait dit qu’elle ferait des ravages, car elle avait de jolis yeux, n’osait plus considerer personne dans la rue et mit très longtemps à ette posture com , pensant que le mot “ravage” était négatif et destructeur. » Dans ce cas précis, il s’agissait d’une expression qu’elle n’était pas en capacité de comprendre, vu son âge.

READ  Le fédéral investit dans une approche culturelle de la santé des femmes autochtones

L’importanza della scusa

Face à un mot blessant qui nous a échappé, comment se comporter face à l’enfant ? Certi genitori vont tenter de mettre l’incident sous le tapis, sans y revenir.

Mais, d’après la psychanalyste, « il est importante que l’adulte s’excuse et qu’il rimpianto »: « À cette occasione, le parent peut significanter à l’enfant qu’il n’est pas parfait et fait ce qu’il peut, mais que parfois, il lui arrive de faire des erreurs. »

Cette attitude contrite sera bénéfique pour l’enfant, car rassuré, il ne perdra pas confiance en lui et en vous.

Savoir développer très tôt son vocabulaire

Afin d’éviter tout quiproquo néfaste sur le long terme, il est importante de développer le vocabulaire de l’enfant, et ce, dès son plus jeune age. En effet, l’enfant est par nature curieux des Chooses qu’il ne compend pas et qu’il n’a pas encore nommé.

D’après N. Bourgeois, il ne faut pas s’adresser à lui avec un “langage bébé” qui ne va pas augmenter son verbal verbal: « Même les mots compliqués sont imprimés Employs par l’enfant à à partéil dus sont moment avec calme, bienveillance, et qu’ils sont destinés à l’éduquer (au sens étymologique d’éduquer : ex duca, qui significa “sortir de la nature” in latino). »

À travers la parole, l’enfant va « s’humaniser » et le faire entrer dans le monde du symbolique. Pour maintenir son éveil, il est importante de lui lire des histoires, « et pas seulement au coucher», précise la psychanalyste grenobloise.

En échange, le parent doit veiller à la formulazione delle espressioni qu’il emploie lorsqu’il fait une remarque à son enfant, ainsi qu’à l’intonation de sa voix.

READ  Rivelate le origini della prima crosta terrestre

« Aujourd’hui, au guard de ce nous apprennent les neurosciences et la psychanalyse, il est essentiel de faire très attenzione à la tonalité du propos. Si vous dites en criant et en colère que l’enfant est génial, c’est bien le ton de la colère qui sera imprimé par l’enfant » pointe Natalie Bourgeois.

Ainsi, lorsque vous devrez adresser une critique à votre enfant, privilégiez une voix calme and rassurante e formulez-là de manière constructive et non-umiliante. Esempio: « Tu vois, tu as eu une note moyenne, tu as fait des effort pour compendre l’exercice. C’était compliqué. As-tu compris tes erreurs ? Tu feras mieux la prochaine fois, c’est salomeux d’avoir saggié. »

Avoir confiance en lui

«Un enfant n’est jamais en échec, il est en apprentissage», pointe Natalie Bourgeois. C’est pour cette raison qu’il ne sert à rien de mettre votre enfant sous pression, car il a besoin de votre confiance, pas de minaces, selon la psychanalyste.

Même si vous avez cédé un jour à la remarque inutilement blessante, sachez que rien n’est joué d’avance : des remarques malheureuses peuvent être effacées avec beaucoup de bienveillance, des au grérience des expes.

« Dans ma Patientèle, j’ai rencontré des enfants peu intéressés par l’école en primaire ou même au collège et qui ont fait de très brillantes études, car un parent, un professeur, un oncle, a crué en a ux val et » éclaire Natalie Bourgeois.