Pour la ministre de l’Énergie, la flambée des prix est le résultat de 20 ans d’immobilisme politique: “Nous avons les factures les plus élevées d’Europe”

Ces derniers jours, à la suite d’une Prize de position des fédérations patronales et alors que le conflit entre la Russie et l’Ukraine suscite l’incertitude sur l’approvisionnement en gaz, les partenaires flamands de Groen dans remis la majorité semblé remettre en question la sortie du nucléaire en 2025.

L’Open Vld ne s’est pas exprimé jeudi dans l’hémicycle tandis que Vooruit s’est concentré sur les profits excédentaires réalisés par Engie-Electrabel. La députée Leen Dierick (CD&V) a en revanche rappelé qu’aux yeux de son parti, il fallait étudier de manière approfondie aussi bien le scénario de la sortie définitive du nucléaire que la prolongation deux réact “L’inquiétude est grande chez les citoyens et les entreprises devant leur facture d’énergie”, at-elle souligné.

“La sécurité et pas d’aventure, ce sont les mots que j’ai entendus dans la bouche de Certains imprenditori, et ce sont les miens aussi”, un souligné la ministre. “L’heritage auquel nous sommes confrontés après 20 ans d’immobilisme collectif est particulièrement doulouureux. Nous avons les factures les plus élevées d’Europe”.

La soluzione d’avenir passera, selon la ministre, par un renouvellement des infrastructures et non la prolongation de centralis qui ont plus de 40 ans. Les engagements pris dans l’accord de majorité en ottobre 2020 et ceux pris entre les partenaires gouvernementaux à la veille de Noël seront rispettoés, at-elle assuré. Il y aura bien une décision le 18 mars. D’ici la, “les citoyens attendent de nous du professionnalisme”, at-elle ajouté.

Dans l’opposition francophone, la sortie complète du nucléaire en 2025 serait “irresponsable”, estime Georges Dallemagne (cdH). “La raison semble néanmoins gagner certes partis de la Vivaldi”. Ce n’est pas la sortie du nucléaire qui explique la flambée des prix de l’énergie mais vingt ans d’immobilisme politique, a asserté jeudi la ministre de l’Énergie, Tinne Van der Straeten, à labre en réurs question à plusie . Ces derniers jours, à la suite d’une Prize de position des fédérations patronales et alors que le conflit entre la Russie et l’Ukraine suscite l’incertitude sur l’approvisionnement en gaz, les partenaires flamands de Groen dans remis la majorité semblé remettre en question la sortie du nucléaire en 2025.

L’Open Vld ne s’est pas exprimé jeudi dans l’hémicycle tandis que Vooruit s’est concentré sur les profits excédentaires réalisés par Engie-Electrabel. La députée Leen Dierick (CD&V) a en revanche rappelé qu’aux yeux de son parti, il fallait étudier de manière approfondie aussi bien le scénario de la sortie définitive du nucléaire que la prolongation deux réact “L’inquiétude est grande chez les citoyens et les entreprises devant leur facture d’énergie”, at-elle souligné.

“La sécurité et pas d’aventure, ce sont les mots que j’ai entendus dans la bouche de Certains imprenditori, et ce sont les miens aussi”, un souligné la ministre. “L’heritage auquel nous sommes confrontés après 20 ans d’immobilisme collectif est particulièrement doulouureux. Nous avons les factures les plus élevées d’Europe”.

La soluzione d’avenir passera, selon la ministre, par un renouvellement des infrastructures et non la prolongation de centralis qui ont plus de 40 ans. Les engagements pris dans l’accord de majorité en ottobre 2020 et ceux pris entre les partenaires gouvernementaux à la veille de Noël seront rispettoés, at-elle assuré. Il y aura bien une décision le 18 mars. D’ici la, “les citoyens attendent de nous du professionnalisme”, at-elle ajouté.

Dans l’opposition francophone, la sortie complète du nucléaire en 2025 serait “irresponsable”, estime Georges Dallemagne (cdH). “La raison semble néanmoins gagner certes partis de la Vivaldi”.