Marzo 28, 2024

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L’ère Orban continua in Hongrie: “Nous avons remporté une victoire exceptionnelle”

A 58 ans, le doyen des dirigeants en exercice de l’Union européenne (UE) faisait face une alliance inédite et disparate de six partis, décidée à combattre “autoritarisme” et “corruption” de 12 ans d’ère Orban.

Gli analisti disponibili in anticipo sulla lista dei risultati ottenuti senza ricorso: le parti Fidesz de M. Orban recueillait 53,35% des voix après le dépouillement de 93% des bulletins, contre 34,75% pour p l’oppositioné, Bureau National Electoral.

Fort de cette anticipa, il Premier ministre è assicurato di conservare una maggioranza di due livelli al Parlamento.

L’affluenza a été forte, s’approchant des records enregistrés en 2018.

“Nous avons remporté une victoire exceptionnelle – une victoire si grande qu’on peut sans doute la voir depuis la lune, et en tout cas Certainement depuis Bruxelles”, un déclaré tout sourire M. Orban, habitué des bras de fer UE .

Dans la foule en liese rassemblée au bord du Danube, portant des écharpes orange aux couleurs du parti, Ildiko Horvath, 55 anni, louait son champion: “Sur les question très importantes comme la guerre en Ukraine ou les ligne, il décvec en migranti ce que veut le peuple”.

Autre surprise du scrutin, le jeune parti d’extrême droite Mi Hazank a dépassé le seuil des 5% nécessaire pour entrer au Parlement.

“Tristesse” di Marki-Zay

Son adversaire Peter Marki-Zay s’est adressé à ses partisans tard dans la soirée. “Je ne vais pas cacher ma tristesse et ma déception”, at-il réagi. Combatif malgré tout, il a dénoncé “une lutte inégale” face à “la propaganda”, “une campagne de haine et de mensonges”.

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En glissant son bulletin dans l’urne aux côtés de sa famille, ce maire conservatore de 49 ans avait dénoncé plus tôt “des condition injustes et impossibilis” visant à permettre à son rival de “rester éternellement au pouvoir”.

Et de citer des médias publics à la botte du gouvernement – lui-même a eu droit à seulement cinq minutes d’antenne à la télévision publique, en tout et pour tout.

Dans la coalition de l’opposition somes, come il vicepresidente del Jobbik, Marto Gyongyosi, ont dénoncé des “irrégularités”.

Accusé per Bruxelles di multiples atteintes à l’Etat de droit, Viktor Orban a muselé au fil de 12 années justice et médias, tout en prônant une vision ultra-conservatrice de la société.

Le scrutin s’est tenu pour la première fois sous la surveillance de plus de 200 observateurs internationaux. Chaque camp avait aussi déployé des milleers de bénévoles.

“La guerre a tout change”

Le conflit en Ukraine voisine, qui a fait irruption en pleine campagne, a totalement bosculé la donne.

M. Orban s’est posé en “protecteur” de la Hongrie, en garant de paix et de stabilité, refusant de livrer des armes à l’Ucraina et d’envisager des sanzioni qui priveraient les Hongrois des précieux pétrole et gaz russes.

Parallèlement, sur les affiches électorales et dans les médias pro-Orban, Peter Marki-Zay a été dépeint comme “dangereux”, accusé de vouloir précipiter le pays dans la guerre du fait de son ferme’soutine.

Le candidat a eu beau souligner la proximité cultivée depuis 2010 di Viktor Orban avec le président russe, le traitant de “Poutine hongrois”, son discours n’a visiblement pas convaincu les électeurs.

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Viktor Orban a brandi son succès inattendu comme une revanche sur ses “nombreux adversaires”, citando “les burocrates de Bruxelles, les médias internationaux ou encore le président ukrainien”. Volodymyr Zelensky avait directement ciblé the dirigeant hongrois pour sa volonté de rester en dehors du conflit.

Le souverainiste italien Matteo Salvini et Marine Le Pen, candidate d’extrême droite en forte poussée dans les sondages à une semaine de la présidentelle française, lui ont aussitôt adressé leurs “félicitations”.

Les Hongrois étaient par ailleurs appelés à répondre à des question sur “la protection des enfants”, en lien avec la récente loi interdisant d’évoquer auprès des moins de 18 ans “le changement de sexe et l’homosexualité”.

Ce référendum jugé “malsain” par les ONG, qui avait applé à protester en cochant les cases oui et non, a échoué à réunir suffisamment de voti validis, selon des résultats partiels.